Paul Dalbret président d’honneur du CAG  en 1927

En tournée en 1923 en Belgique. Plusieurs Gombertois sont sur ces photos.






Dalbret au Petit Clos en 1916

Avion piloté par l’aviateur Montel, tombé à Château-Gombert

le 14 novembre 1918           (Dalbret photographe)

La municipalité de Marseille honorera sa mémoire en donnant son nom à l'avenue qui sera ouverte près de son ancien domicile « Le Petit Clot »


Paul Dalbret est ainsi un des rares chanteurs de la Belle Époque a avoir une rue à son nom.

Liens vers des biographies de Paul Dalbret


Sur  le site  : Wikipédia


Sur le site  : Du temps des cerises aux feuilles mortes


Sur le site : De la belle époque aux années folles            (possibilité d’écouter ses chansons)

Paul DALBRET  artiste lyrique

    (Gombertois d’adoption)


Auguste Paul Van Trappe, dit Paul Dalbret, né à Paris (11ème) le 2 avril 1876 et mort à Chateau Gombert  le 3 mars 1927, est un auteur-compositeur-interprète français.


D'abord interprète, il devient auteur-compositeur à partir de 1907. Sa première chanson La légende des flots bleus rencontra rapidement un véritable succès. Interprétée par de nombreux artistes et en particulier par Berthe Sylva et Simone Langlois, elle est une des compositions de Paul Dalbret à être passée à la postérité avec Les hiboux, reprise par Édith Piaf. On peut citer encore La valse chaloupée (1908), Ne jouez pas aux soldats (1921), et surtout Arrêtez les aiguilles (1925).


À la fin de sa carrière, il abandonne la chanson réaliste pour se tourner vers la chanson coquine.


C'est 1904 qu'il est engagé au théâtre de l'Alcazar à Marseille. Séduit par la ville et l'accueil de ses habitants, il décide de s'installer dans le quartier de Château Gombert  au chemin des Paroyes dans une propriété mitoyenne de celle construite par  «Dérouvile » un auteur -compositeur des ses amis . Dès lors, il mène une carrière bien remplie, tant sur les scènes parisiennes que Marseillaises, jusqu'à la déclaration de guerre.


Il est très aimé à Chateau-Gombert ou il anime une fanfare qu’il à créé et ou il dépense sans compter. (voir les photos)


Bien qu'âgé de 38 ans et marié, il est envoyé directement sur le front. En 1915, il est victime d'une attaque massive au gaz moutarde qui le contraint à passer de longues mois en convalescence dans un sanatorium. Il est alors réformé définitivement. Jusqu'à la fin de la guerre, il compose et enregistrera de nombreuses chansons à caractère patriotique. Malgré les difficultés respiratoires consécutives à son gazage, il reprends dès 1919 le chemin des scènes de spectacles et des tournées, tant en province qu'à l'étranger (Belgique). Mais à partir de 1924, son état pulmonaire s'aggrave et il doit progressivement ralentir ses activités. Il arrête définitivement les séances d'enregistrements qui l'épuise. Alité depuis plusieurs mois à la suite d'un malaise sur scène, il s'éteint à Marseille le 3 mars 1927 dans sa propriété du Petit Clos. Il allait avoir 51 ans.

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